.
.
.
( Data breve para una visita)
¿Qué ver , transitar y confrontar en El Prado ?
.
.
.
Primero : respetar la propia sensación.
+
- La historia a contar / La formatividad de la no-historia presentada.
- La modulación en los planos de color / La desarticulación del modelado en los cuerpos y las figuras con la respectiva desaturación del color (proceso inverso al de Rembrandt).
- Exploración : Rembrandt – Goya – Velázquez , y volver a Bacon.
- Diferenciar la puesta en escena teatral (Bacon) , de la secuencia cinematográfica (Picasso – Guernica , en el Reina Sofía ) .
- Observar “ la memoria involuntaria “ .
- Confrontar los niveles :
Sensación / Percepción.
Vibración / Resonancia
“La caja segura del Renacimiento” / La distancia del espectador.
Lo Figurativo / Lo Figural (Lyotard – Deleuze ) .
Sincretismos : los diferentes y complejos espacios que interactúan entre sí.
- Ver “Las Leyes del Tríptico” .
- Establecer las diferencias respecto de los trípticos clásicos basados en las espacialidades :
Cielo – Tierra – Infierno.
- Divisar el concepto de diagrama.
- El aislamiento de la figura.
- El cuerpo des-organizado : el cuerpo de lo histérico.
- La carne como sostén del significante cuerpo y el cuerpo caído a los niveles de la mera carnalidad.
- La “Matter of Fact.” en el marco de las propuestas del “Empirismo Superior” .
- Asociar lo Figural en Bacon con “El Entierro del Conde de Orgaz” de El Greco (Toledo).
- + Asociaciones : Bacon / John Russel / Proust .
(…) Et c`est cela, le principe des triptyques : le maximum d ´unité de lumière et de couleur, pour le maximum de division des Figures. Telle était la leçon de Rembrandt : c ´est la lumière qui engendre les personnages rythmiques. C ´est pourquoi le corps de la Figure traverse trois niveaux de forces qui culminent avec le triptyque. Il y a d ´abord le fait de la Figure, quand le corps se trouve soumis aux forces d ´isolation, de déformation et de dissipation. Puis une première " matter of fact " , quand deux Figures se trovent prises sur le même fait,
c `est-à-dire quand le corps est en proie à la force d ´accouplement, force mélodique. Puis enfin le triptyque : c `est la séparation des corps dans
.
.
( Data breve para una visita)
¿Qué ver , transitar y confrontar en El Prado ?
.
.
.
Primero : respetar la propia sensación.
+
- La historia a contar / La formatividad de la no-historia presentada.
- La modulación en los planos de color / La desarticulación del modelado en los cuerpos y las figuras con la respectiva desaturación del color (proceso inverso al de Rembrandt).
- Exploración : Rembrandt – Goya – Velázquez , y volver a Bacon.
- Diferenciar la puesta en escena teatral (Bacon) , de la secuencia cinematográfica (Picasso – Guernica , en el Reina Sofía ) .
- Observar “ la memoria involuntaria “ .
- Confrontar los niveles :
Sensación / Percepción.
Vibración / Resonancia
“La caja segura del Renacimiento” / La distancia del espectador.
Lo Figurativo / Lo Figural (Lyotard – Deleuze ) .
Sincretismos : los diferentes y complejos espacios que interactúan entre sí.
- Ver “Las Leyes del Tríptico” .
- Establecer las diferencias respecto de los trípticos clásicos basados en las espacialidades :
Cielo – Tierra – Infierno.
- Divisar el concepto de diagrama.
- El aislamiento de la figura.
- El cuerpo des-organizado : el cuerpo de lo histérico.
- La carne como sostén del significante cuerpo y el cuerpo caído a los niveles de la mera carnalidad.
- La “Matter of Fact.” en el marco de las propuestas del “Empirismo Superior” .
- Asociar lo Figural en Bacon con “El Entierro del Conde de Orgaz” de El Greco (Toledo).
- + Asociaciones : Bacon / John Russel / Proust .
(…) Et c`est cela, le principe des triptyques : le maximum d ´unité de lumière et de couleur, pour le maximum de division des Figures. Telle était la leçon de Rembrandt : c ´est la lumière qui engendre les personnages rythmiques. C ´est pourquoi le corps de la Figure traverse trois niveaux de forces qui culminent avec le triptyque. Il y a d ´abord le fait de la Figure, quand le corps se trouve soumis aux forces d ´isolation, de déformation et de dissipation. Puis une première " matter of fact " , quand deux Figures se trovent prises sur le même fait,
c `est-à-dire quand le corps est en proie à la force d ´accouplement, force mélodique. Puis enfin le triptyque : c `est la séparation des corps dans
l ` universelle lumière, dans l ` universelle couleur, qui devient le fait commun des Figures,
leur être rythmique, seconde "matter of fact" ou Réunion qui sépare. Une réunion sépare les Figures, elle sépare les couleurs, c èst la lumière. Les êtres-Figures se séparent en tombant dans la lumière noire. Les couleurs-aplats se séparent en tombant dans la lumière blanche. Tout devient aérien dans ces triptyques de lumière, la séparation même est dans les airs. Le temps n´est plus dans le chromatisme des corps, il est passé dans une éternité monochromatique. C ´est un inmense espace-temps qui réunit toutes choses, mais en introduisant entre elles les distances d ´un Sahara, les siècles d ´un Aiôn : le triptyque et ses panneaux séparés. Le triptyque, en ce sens, est bien une manière de dépasser la peinture de " chevalet " ; les trois tableaux restent séparés, mais ils ne sont plus isolés ; le cadre ou les bords d ´un tableau renvoient, non plus à l `unité limitative de chacun, mais à l ´unité distributive des trois. Et finalement, chez Bacon, il n ´y a que des triptyques : même les tableaux isolés sont, plus ou moins visiblement, composés comme des triptyques.
GILLES DELEUZE / FRANCIS BACON / LOGIQUE DE LA SENSATION
X – NOTE : QU`EST-CE QU´UN TRIPTYQUE ?
La Vue le Texte / aux éditions de la différence / Pág. 56 / Mariogros – Torino – 06/96
.
Proyecto : S.A.C. – Blog / NIVEL III /09 .
▼
GILLES DELEUZE / FRANCIS BACON / LOGIQUE DE LA SENSATION
X – NOTE : QU`EST-CE QU´UN TRIPTYQUE ?
La Vue le Texte / aux éditions de la différence / Pág. 56 / Mariogros – Torino – 06/96
.
Proyecto : S.A.C. – Blog / NIVEL III /09 .
▼